Archive for juillet, 2011


Vous croyez aux OVNI?


Un dessin d'OVNI

AFP/THE NATIONAL ARCHIVES

Un Belge qui avait réalisé en 1990 une photo devenue célèbre d’un OVNI a avoué mardi, 21 ans après les faits, qu’il s’agissait d’une supercherie, expliquant qu’il s’agissait en fait d’une maquette en polystyrène qu’il avait lui-même fabriquée.

La photo, diffusée alors qu’une vague d’objets volants non-identifiés était observée depuis quelques mois dans le ciel belge, avait suscité l’intérêt de nombreux scientifiques, "y compris de la Nasa", sans que personne ne découvre qu’il s’agissait d’un canular, souligne la télévision privée RTL-TVI, qui a dévoilé l’information mardi.

"Patrick", âgé à l’époque de 18 ans, avait décidé avec des collègues de construire "pour s’amuser" une maquette de forme triangulaire et munie de quatre spots, a-t-il expliqué sur la chaîne belge.

"On l’a fabriquée, on l’a peinte, on l’a suspendue dans le vide et on a pris la photo en soirée", a avoué le quadragénaire originaire de la région de Verviers (est).

La photo est la plus précise réalisée durant les deux années durant lesquelles les observations d’OVNI ont été rapportées par plusieurs milliers de témoins aux quatre coins de la Belgique, dont des gendarmes, des ingénieurs ou des ouvriers, suscitant un emballement médiatique sans précédent.

Une "chasse à l’OVNI" avait même été organisée depuis l’aéroport de Liège (est), quelques jours après la diffusion de la photo de Patrick en avril. Un avion de la force aérienne belge avait survolé, en vain, une partie du territoire.

Certains avaient avancé que le mystérieux objet volant était peut-être un nouveau type d’avion furtif testé par l’Otan, tandis que d’autres n’avaient pas écarté l’hypothèse d’un "génial bricoleur".

"Mon sentiment, c’est qu’il est facile de tromper beaucoup de monde avec une bête maquette", a expliqué Patrick, en expliquant qu’il était temps de mettre fin à la supercherie. Mais sans préciser pourquoi il avait attendu 21 ans pour s’y résoudre.

© 2011 AFP


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Souvent, les gens me disent « Voyons c’était juste un chien » ou « tu en as dépensé de l’argent pour « juste un chien ». Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que cela implique pour «juste un chien ».

Pourtant, plusieurs des moments dont je suis fière sont survenus à cause de « juste un chien ».

 
J’ai passé bien des heures voire des années avec pour seul compagnon « juste un chien » et je ne me suis jamais sentie le moindrement seule.
Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de « juste un chien » (malade) et dans ces jours sombres, le doux contact de « juste un chien » m’a donné réconfort et permis de traverser la journée.

 
Si vous aussi pensez que c’est « juste un chien », alors vous comprendrez probablement les phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ».

 
« Juste un chien » a apporté dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance, d’une joie passionnée.
«Juste un chien» a fait ressortir la compassion et la patience qui ont fait de moi une meilleure personne.

 
À cause de « juste un chien », je me levais le matin avec un but et je prenais de longues marches le coeur léger.

 
Alors pour moi, ce n’était pas « juste un chien », mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves, et la PURE JOIE DU MOMENT.
« Juste un chien » a fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et détourné de mes pensées les problèmes de la journée.

 
J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’était pas « juste un chien », mais l’être qui m’a aidée dans mon humanité et qui m’a préservée de n’être que « juste une humaine». Et qui a rempli ma solitude en m’évitant la dépression.

 
Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase « juste un chien », souriez, parce qu’ils n’ont rien compris.

* * *

 

Ce n’est pas pour rien qu’une amie m’a envoyé ce texte écrit par une certaine Sandrine.

Le chat et le dauphin


 

Vraiment mignon et drôle!

 

http://youtu.be/DPHuJvs8aws


Au fond, toute âme humaine est cela: une fragile lumière en marche vers quelque abri divin, qu’elle imagine, cherche et ne voit pas. (André Maurois)

 

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Le snobisme est une manière pour les gens sans personnalité, de s’en donner une. ([Marcel Natkin)

 

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Les snobs (déformation des mots  « sine nobilitate ») sont par définition des gens sans noblesse qui essaient d’imiter les grands.

 

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Une partie de notre âme n’est pas éveillée jusqu’à ce qu’on ait aimé un animal. (Anatole France)

 

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Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de nous renvoyer une image (Jean Cocteau)

 

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Dieu a dit: “Il faut partager: les riches auront la nourriture, les pauvres de l’appétit” (Coluche)

 

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L’amour pour les animaux élève le niveau culturel du peuple. (F. Salvochea)

 

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Nous pouvons juger le coeur d’un homme à la manière dont il traite les animaux. (Kant)

 

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Avant de blâmer, il faudrait toujours chercher si l’on peut d’abord excuser. (G-C. Lichtenberg)

 

 

GIFS BONNE FIN DE SEMAINE..WEEK-END

LES ABANDONNEURS!


François Cavanna est un grand défenseur des valeurs républicaines et de la langue française. Il attaque avec beaucoup de véhémence la publicité, l’injustice, la souffrance « spectacle » des animaux et l’irrationnel. Dieu et la religion font partie de ses sujets de prédilection
Salauds au coeur tendre par François Cavanna.
En cette période estivale ou les prétextes les plus foireux sont mis en avant pour abandonner les animaux je tiens à ce que mon premier papier sur ton blog rende hommage à tous ces animaux lâchement abandonnés par des maitres irresponsables et sans coeur.
Salauds au coeur tendre
Écoutez. Le tuer, j’ai pas le cœur.
Alors, je vous l’amène.
Vous, vous les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge,
c’est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C’est à prendre ou à laisser. Si vous en voulez pas, j’irai le perdre dans les bois. Je l’attacherai à un arbre, pour ne pas qu’il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu’il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l’attacher et puis se sauver, pas l’entendre crier, c’est trop triste, on n’est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous le prenez pas ? Faut vous décider, j’ai pas que ça à faire, on n’a pas encore fini les bagages.
 

Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d’autre ? Le bon salaud le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c’est qu’on a le cœur tendre, qu’on ne peut absolument pas supporter l’idée qu’une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque “ces gentils compagnons” se mettent à être malades et coûtent “les yeux de la tête” en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n’ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulante et ses petits…) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents.
 
 

Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s’empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d’argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l’idée), mais c’est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu’une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l’indifférence générale devant l’omniprésence de la misère animale. C’est le fait d’âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s’agit de gens à faibles ressources qui s’épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles.

Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d’aliments ont stimulé une frénésie d’achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La “rentabilité” exige qu’une femelle d’une race “vendeuse” ponde et ponde jusqu’à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n’est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c’est le chantage cynique de tout à l’heure : “Vous le prenez ou je vais le perdre”. C’est exactement le coup de l’otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : “Vous me la donnez la caisse ou je l’égorge.”

On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l’animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n’aime pas dire “amis des bêtes”), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d’un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d’inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s’occuper d’animaux alors qu’il y a tant de détresses humaines… Et quand l’apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l’euthanasie en masse par les services de l’hygiène publique, pas fâchés d’être débarrassés.

Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait “refuge” et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S.V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d’usage concernant les règles d’hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie “normale” était l’euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé.

Il faut que l’animal cesse d’être considéré comme un objet, un bien “meuble” qu’on achète, qu’on vend, qu’on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les “mauvais traitements”, d’ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d’un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d’un enfant. C’est le formidable et trop prévu nombre d’abandons liés aux départs en vacances qui m’a mordu au cul. Savez-vous qu’ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d’aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? “Avec la planche à voile sur le toit de la voiture” m’a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-merdes, volent haut dans l’air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bord, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados !

PS : Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage.

article de François Cavanna paru sur CHARLIE-HEBDO

les photos 6 et 7 sont proposés à l’adoption

 

Que j’aime cet Homme!

C’est tout ce que je me contenterai de dire.


J’ai besoin d’un petit service!

Je pars en vacances


pour 1 mois!


Alors, pourrais-tu


arroser mes plantes pour moi ?


 

BONNE JOURNÉE!

 

Morne Dimanche


La campagne taciturne
Se noie dans la grisaille

 

Paysage immobile
Comme un tableau monochrome
Accroché à l’univers

 

Je revois ta joue dans ma paume
Les yeux posés dans le vague
D’un doux souvenir

 

Et je me fonds dans l’ombre épaisse
De ton absence

 

Bonne semaine